Mon univers vert.

Que j'explique, c'était un sujet de rédaction où il fallait raconter ou inventer une passion de notre enfance.
Voilà maintenant vous pouvez commencer à lire

Et surout dites moi votre avis après.
Merci !


Mon univers vert.

Les souvenirs de mon enfance furent parsemés de milliers d’étoiles. Cette partie de ma vie je m’en souviendrais toujours, ou du moins je l’espère.

Dès mon réveil, je partais explorer le fin fond de ce que j’appelais, mon univers vert. En général on ne me voyais pas avant le coucher du soleil ; mais dès fois, je sortais ma petite tête des herbes touffues pour aller, comme une lionne, traquer une bête sauvage, plus couramment appelé un déjeuner. Après avoir bien rempli mon ventre, je repartais explorer tous le recoins où je n’avais encore jamais mis les pieds. Parfois, je passais devant le tuyau d’arrosage qui s’ondulait à la manière d’un serpent prêt à bondir sur sa proie. Après avoir passé cela, j’arrivais devant un gigantesque arbre ; de là, je repartais vers la droite où se trouvais des fleurs de milles et une couleur qui s’illuminaient telle un arc en ciel. Plus loin sur la gauche, se tenait un grand bassin où nageaient de petits poissons. Certains étaient rouges , d’autres jaunes. Je m’amusais à les regarder et à leur donner de la nourriture. Quand je faisais cela ; ils sautaient hors de l’eau et replongeaient aussitôt. C’était, en quelque sorte, leur manière de me dire merci. Souvent j’allais tout au fond du jardin où poussaient des abricotiers, des cerisiers, des amandiers, des poiriers, des pommiers et des pêchers.

Bien sûr je fis d’étrange rencontres, les moustiques, qui l’été bourdonnaient tels des hélicoptères à mes oreilles. Où encore des chenilles qui piquaient comme des fourchettes quand j’essayais de les toucher. Plus d’une fois je rentrais avec les mains et les genoux écorchés, je tombais souvent en essayant d’attraper un papillon et je me perdais dans ce vaste jardin. Malgré des découvertes horribles et fascinantes à la fois, comme les araignées ou encore les limaces ; je revenais toujours avec entrain dans mon univers vert. Le soir, avant que le soleil ne se couche, je m’allongeais dans l’herbe et regardais les nuages passer. Ils étaient blancs et cotonneux comme des moutons.

A travers ces aventures d’enfance, j’ai appris : à faire attention à la nature, à observer les moindres détails, à la respecter, mais surtout qu’elle est magnifique, éternelle et restera à jamais fragile.

Tu as pris la peine de le taper =)

J'aime beaucoup ! Et, encore une fois, j'adore la dernière phrase !